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Introduction

Ce premier séminaire du cours d’enseignement et apprentissage efficaces, facilité par Jean Marcial Bell, PhD, en provenance de Cameroun, au programme de Master d’Art en Leadership Organisationnel et Management sous l’égide ‘‘Development Associates International’’ (DAI) avec son partenaire l’Université Shalom de Bunia (USB), à la session résidentielle de mars 2016, dans la partie Est de la République Démocratique du Congo. Il s’articule sur les trois premières unités des matières parcourues ensemble à l’auditoire.Notre dissertation va se déployée autour des axes suivants :

  1. Les méthodes d’enseignements de Jésus :
  • Ce que nous avons appris de nouveau que nous allons imiter
  • Ce que nous savions déjà et a constitué une révision.
  1. Les théories de rétention d’apprentissage :
  • Ce que nous avons appris de nouveau que nous allons utiliser.
  • Ce que nous savions déjà et a constitué une révision.
  1. Les styles d’apprentissage
  • Ce que nous avons appris de nouveau que nous allons appliquer.
  • Ce que nous savions déjà et a constitué une révision.

Nous allons conclure cette rédaction en relevant l’impact général de ces trois chapitres sur notre vie familiale et professionnelle.

Dans les lignes qui suivent, nous allons aborder à l’ordre utile chaque point esquissé ci-dessus.

  1. LES METHODES D’ENSEIGNEMENTS DE JESUS

En rapport avec les méthodes d’enseignements de Jésus-Christ, nous prendrons soin de les énoncer avant de soutirer les nouveautés que nous avons encaissées et avons utilisées après notre apprentissage.Les méthodes d’enseignement de Jésus sont des approches messianiques utilisées pour communiquer la connaissance de la Vérité qui est la Parole de Dieu de manière relevante.

En fait, Jésus-Christ est le Créateur, le Fils de Dieu et le Véritable Dieu, le premier et le dernier dans tous les domaines : en médecine, il est le premier chirurgien : Il a opéré Adam pour tirer la côte et modeler Eve sa femme ; en anesthésie et réanimation, il est le premier : Il a endormi profondément Adam pour tirer sa côte ; En planification, il est le premier : Il a créé toutes choses par sa Parole selon une séquence programmatique ; dans l’Armée, Il est l’Eternel, Dieu des armées ; en justice et en politique :Il est notre Juge (Pouvoir Judiciaire), notre Législateur (Pouvoir Législatif) et notre Roi (Pouvoir Exécutif) ; En enseignement et apprentissage efficaces, il est le ‘‘Master-Enseignant’’ parce que tous étaient frappés par sa doctrine car il n’enseignait pas comme les scribes et les docteurs de la loi. Ces derniers s’étonnaient du bagage de savoir que détenait Jésus-Christ, lui qui n’avait pas étudié dans leur synagogue.Jean 7 :15.

Les méthodes d’apprentissages de Jésus-Christ, sont entre autre :

  1. Méthodologie narrative ou de discours aux grandes foules à côtés des montagnes. (Matthieu 5:1-2)
  2. Méthodologie démonstrative. (Luc 9:13-17 / Jean 9:1-7) : l’enseignement est accompagné d’une application pratique qui immortalise ou illustre la leçon du jour auprès des apprenants.
  3. Méthodologie d’envoie ou de délégation de tâches aux disciples pour traduire l’apprentissage en réalité sur le terrain. (Luc 9:2) : la vraie formation est pratique. Jésus-Christ associe ses apprenants à sa dignité. Les taches qu’il devait faire lui-même, il cède à ses apprenants les prérogatives de les accomplir.
  4. Méthodologie de motivation des disciples à tirer des leçons à partir de ce qu’ils avaient fait. (Luc 9:10 / Marc 6:30-31)
  5. Méthodologie corrective et de redressement ou de clarification pour réfuter les erreurs et les incompréhensions. (Luc 9:52-56)
  6. Méthodologie illustrative : enseignement par les exemples. (Luc 11:1-2 / Jean 3:27) (
  7. Méthodologie informative : enseignement faisant appel aux illustrations tirées de la vie quotidienne. (Matthieu 13:24 / Matthieu 13:31)
  8. Méthodologie répétitive : qui fait appelle à la révision. (Matthieu 13:44-47)
  9. Méthodologie consistant à répondre aux questions. (Matthieu 13:10-11 / Marc 8:27-29)
  10. Méthodologie explicative : cette approche consiste à expliquer en détaille sujet ou la matière. (Matthieu 13:18)
  11. Méthodologiede multimédia. (Matthieu 13:1-9) : au bord de la mer les ondes acoustiques pouvaient propulsées le timbre vocal de Jésus Christ et le message pouvait atteindre la foule aisément.
  12. Méthodologie scripturaire : Jésus-Christ interprétait les Ecritures familières à ses interlocuteurs. (Matthieu 13:14-15)
  13. Méthodologie historique : Jésus-Christ a enseigné en racontant des histoires. (Matthieu 7: 24-27)
  14. Méthodologie évènementielle contemporaine : Jésus-Christ a enseigné en utilisant des événements contemporains. (Luc 13:1-3)
  15. Méthodologie parabolique : Jésus-Christ a fait recours aux paraboles pour fixer certains enseignements relatifs au Royaume de Dieu.
  16. Méthodologie d’écoute active
  17. Méthodologie comparative
  18. Méthodologie de découverte
  19. Méthodologie d’apprentissage ou d’enseignement en petit groupe.

Cette liste, nous est familière, mais le nouveau tiré est la méthode de découverte où l’on donne à chaque apprenant l’occasion de découvrir la richesse de la parole de Dieu et de donner une application pratique par rapport à lui-même. C’est l’approche que nous sommes en train d’expérimenter pendant cette période dans nos études bibliques. Ainsi que les discussions en petit groupe où chaque apprenant exprime clairement ses convictions[JMB1] .

Toutes ces méthodes sont très bien connues, mais à ce moment précis, nous commençons à l’expérimenter progressivement dans nos grandes et nos petites réunions. Chaqu’une d’elles est fonction du goût du facilitateur, du profil des apprenants, de temps impartie et de résultats attendus.

Nous croyons que le cours d’enseignement et apprentissage efficace n’a fait qu’enlever le paravent à nos yeux pour intégrer les variétés méthodologiques dans la communication et rendre ainsi plus attrayant nos réunions d’apprentissage.[JMB2]

Cette première question étant épuisée, nous abordons la seconde question qui sera déployé dans les lignes qui suivent.

  1. LES THEORIES DE RETENTION D’APPRENTISSAGE

Les théories de rétention d’apprentissages nous renvoient à la manière dont l’enseignement et l’apprentissage efficaces peuvent créer l’impact durable ou à longue portée dans la vie des apprenants.

En parcourant, le contenu de notre cours, nous avons descellé sept facteurs qui sont :

  1. l’évaluation : c’est le jugement porté à une activité d’apprentissage pour permettre aux apprenants d’améliorer, de corriger et d’exceller.
  2. le feedback : mécanisme informatif permettant à l’apprenant de modifier certains aspects de son apprentissage selon les résultats obtenus pendant son exercice. Cette retro-information stimule l’apprenant à parfaire sa marche et à consolider ses connaissances.
  3. l’enseignement des grands groupes : les explications, les instructions ou le sommaire peuvent avoir lieu dans les grands groupes pour permettre à chaque apprenant de saisir la vue d’ensemble ou le survol de la leçon.
  4. l’apprentissage de petits groupes : les échanges dans les petits groupes sont les occasions où l’apprenant est individuellement face à la pratique et trouve l’occasion d’appliquer en âme et conscience la théorie apprise. C’est aussi une opportunité de le rendre redevable vis-à-vis de l’apprentissage.
  5. la réflexion : l’acte de l’esprit qui réfléchit, jugement de la pensée.
  6. l’apprentissage électronique : l’utilisation de la nouvelle technologie de l’information, la recherche via internet, l’utilisation de support audio-visuel, etc.
  7. et d’autres aspects variés de l’éducation supérieure.

Les apprenants retiennent plus lorsque l’enseignement et l’apprentissage leur offrent les occasions de pratiquer, de répéter, d’expérimenter, d’essayer et d’échouer, de découvrir tacitement et bien d’autres encore. L’apprentissage sur le tas permet aux apprenants de maintenir longtemps les acquis de la formation et de s’en servir tant qu’ils vivront.

Comme enseignant, nous les savions, mais nous n’avons pas attaché trop d’importance avant, maintenant, notre attention est focalisée pour donner plus de place à l’apprentissage, à l’évaluation, au feedback, aux exercices répétitifs pour permettre aux apprenants de s’approprier l’apprentissage.

Lors de l’évaluation, le facilitateur et les apprenants tirent tous les valeurs ajoutées de l’apprentissage. L’évaluation permet aussi de revisiter tout le parcours de l’apprentissage qui est une autre forme de révision du processus. Il est vrai que lors de la révision, nous apprenons une seconde fois et de manière efficace. C’est une forme d’apprentissage « gagnant – gagnant ».

Le feed-back permet de cerner si le message sur l’apprentissage est capté de la même manière entre l’émetteur et le récepteur. Il aide à se rassurer si le décodeur saisi la signification, la compréhension du code, de la syntaxe, … à la même dimension que l’encodeur. Le feedback nous serve aussi de thermomètre pour mesure la température de l’apprentissage. Cela facilitera au formateur de recentrer l’approche de l’apprentissage, de reformuler autrement les objectifs de l’apprentissage ou de modifier le contenu de la présentation pour rejoindre les attentes des apprenants.

Une autre face du feed-back est de rassurer le facilitateur de la rétention de l’apprentissage par les apprenants lorsque chacun est capable de traduire par ses propres mots la quintessence de la formation.

Les exercices répétitifs est une occasion qui permet aux apprenants de pratiquer, de manipuler l’apprentissage autant que possible jusqu’à développer une dextérité, une maitrise de la chose apprise. Les apprenants peuvent développer les aptitudes de savoir-faire et de savoir-faire-faire c’est-à-dire non seulement ils ont les capacités de reproduire l’apprentissage, mais aussi de transférer l’apprentissage aux autres.

Le vieux adage dit « c’est en forgeant que l’on devient forgeron ». En fait, la vraie formation est pratique. Nous devons intégrer nécessairement la partie pratique lors de l’apprentissage. Permettre aux apprenants de vivre, d’intérioriser, de toucher, de regarder, de s’approprier l’apprentissage et que cela devienne un patrimoine de leur existence.[JMB3]

  1. LES STYLES D’APPRENTISSAGE

Les styles d’apprentissage sont les différentes manières et particulières d’exprimer l’apprentissage auprès de différents types d’apprenants.

En parcourant, notre cours sur l’Enseignement et l’Apprentissage Efficace, nous avons résumé les styles ci-dessous :

  1. le style d’apprentissage audio-visuel : les apprenants regardent, voient et écoutent. Ils utilisent à la fois les yeux, les oreilles et la connexion cognitive pour assimiler l’apprentissage. C’est ce qui explique cette facilité de rétention des films, des séries télévisées par les femmes dans les ménages.
  2. Le style auditif : les apprenants suivent le discours, l’exposé, la prédication, le sermon, les émissions à la radio, etc. La difficulté est la perte d’attention lorsque le discours ne retient pas l’attention des auditeurs ou l’exposé ne rencontre pas l’assentiment des apprenants.
  3. Le style visuel : l’apprentissage se fait en mettant l’emphase sur la vue. L’utilisation de vidéoprojecteur, de rétroprojecteur, de diaporama, des diapositifs, …
  4. Le style cognitif…..
  5. Le style épistolaire : l’art d’écrire les lettres. Les apprenants se servent des écrits à l’instar des livres, des cours par correspondance, de la documentation écrite, des journaux, des magazines, des revues, des notes de cours, etc.
  6. Le style formel : l’apprentissage qui suit un cursus, un programme et sera sanctionné par un titre à la fin.
  7. Le style informel : l’apprentissage qui n’a pas un programme prédéfini et au finish, l’apprentissage ne sera pas sanctionné. C’est juste une formation de capacitation, rendre l’apprenant capable.
  8. Le style magistral : l’apprenant prend notes de la dictée faite par le formateur.
  9. Le style traditionnel ou Le style théoricien : l’apprenant est inactif et attend tout recevoir de son formateur. Ici, la formation est centrée sur l’enseignant et non sur l’apprenant.
  10. Le style andragogique : l’apprenant est le centre de l’apprentissage. Ses expériences antérieures sont prises en compte lors de l’apprentissage et ces échanges mutuels entre les apprenants et les facilitateurs consolident la formation.
  11. Le style convergeant ; Le style divergent ; Le style assimilant ; Le style accommodant
  12. Le style pragmatique : qui envisage l’apprentissage sous son aspect pratique, du point de vue des faits. Rendre pratique et concret l’apprentissage.
  13. Le style kinesthésique : sensation de mouvement ; Le style activiste ; Le style penseur ; Le style imaginatif ; Le style factuel ; Le style au bon sens ; Le style dynamique.
  14. Le style cognitif : ce style d’apprentissage est l’expression de la connaissance en relation directe avec les images, les explications, les graphiques, les représentations, etc. pour fixer la matière apprise et la traduire en mode de vie.
  1. Le style expérimental : l’expérience que les adultes ont accumulée tout au long de la vie est unegrande ressource pour l’enseignement – à la fois pour eux-mêmes et pour les autres membres du groupe.

Ce que je savais déjà et a constitué une révision :

Il est vrai, nous connaissons en partie et nous prophétisons en partie. Ces différents styles sont très bien connus, mais l’usage dépend de la préférence du facilitateur et de l’atmosphère que les apprenants affichent.

Ce qui m’a beaucoup plus impacté c’est le style de présentation individuelle avec connexion de part et d’autre respectivement avec le facilitateur et avec les membres de la cohorte. Ces points de connexion deviennent des icônes inoubliables gravés dans le souvenir des apprenants et des facilitateurs.

Le style dramatique ou le style théâtrale : présentation de l’apprentissage sous forme d’une scène ou d’une pièce théâtrale permet non seulement aux acteurs et aux spectateurs de retenir l’apprentissage mais de retenir aussi longtemps que possible cette formation. Les apprenants (les acteurs) et les spectateurs (les participants) s’approprient l’apprentissage et deviennent tous les messagers de restitution de cette apprentissage ou les points de distribution de la formation auprès de non-atteints par l’apprentissage.[JMB4]

CONCLUSION[JMB5]

L’impact général de ces trois unités d’enseignement et apprentissage efficaces dans ma vie familiale et professionnelle.

En parcourant l’unité 1. L’introduction de l’enseignement et de l’apprentissage efficaces, le focus dans ce chapitre est les méthodes d’enseignement de Jésus-Christ et la tenue du journal de l’apprenant, une stratégie efficace de consolider l’apprentissage.Jésus Christ est le Créateur de toute chose, en Lui tout existe. Il est l’auteur de l’enseignement et l’apprentissage efficaces. Il est le modèle de Communicateur efficace. Il inspire tous les facilitateurs et les communicateurs efficaces. Celui qui veut être efficace [JMB6] dans son entreprise ou dans son domaine d’enseignement et d’apprentissage efficaces, doit absolument suivre les méthodes utilisées par le Seigneur des seigneurs, le Roi des rois, le Souverain et Maitre Jésus-Christ.

L’unité 2. Consacre ce que nous savons sur les apprenants adultes. Les adultes sont différents des enfants. Les enfants sont des terrains vierges et réceptifs sans cadre de référence. Ils se confient à l’expert, détenteur de la connaissance et du savoir. Tandis que, les adultes ont leurs centres d’intérêts, leurs propres expériences éducatives et instructives, leurs cadres de références, leurs backgrounds, d’où je dois en tenir compte pour être efficace dans l’enseignement et dans l’apprentissage. Il est impérieux de savoir si l’on a à faire à un petit groupe ou à un grand groupe, à un groupe de savant, des experts, des professionnels, etc. Ces informations sur le profil des apprenants, leur background éducationnel et socio-professionnel permettront au facilitateur d’être psychologiquement, spirituellement, moralement et matériellement préparé pour assurer l’apprentissage en toute gaieté.

Pour ce faire, il faut utiliser les méthodes interactives, participatives et échanges d’expériences pour valoriser les expériences antérieures détenues par les apprenants adultes qui peuvent constituer une valeur ajoutées à l’apprentissage à la fois pour le facilitateur et pour la cohorte des apprenants. Il est intéressant de remettre en question chaque contenue d’apprentissage et élaborer les objectifs éducatifs de manière à rejoindre les points saillants qui englobent les centres d’intérêts ou les attentes des apprenants adultes.

L’unité 3. S’appesantit sur la compréhension des styles d’apprentissage. Dans ce chapitre, nous avons répertorié plus de 20 styles d’apprentissage. Mais de tous ces styles, seuls ceux qui rendre l’apprentissage inoubliable ; ceux qui sont plus pratiques ou kinesthésiques peuvent être retenus pour l’apprentissagedes adultes d’autant plus que les apprenants adultes refusent sciemment la mémorisation, mais en manipulant, en touchant, en répétant l’exercice, en lui donnant l’occasion d’essayer et d’échouer. « Un vieux adage disait : nous apprenons mieux dans nos échecs que dans nos succès ». Là où nous avons réussi avec beaucoup de succès, nous n’avons pas assez de temps pour revenir sur les étapes ou sur le processus du succès et nous tombons dans l’euphorie de l’autosatisfaction. Tandis que là où nous avons échoué, nous y revenons mentalement étape par étape pour découvrir à quel niveau nous avons fait un faux pas et comment améliorer dans la prochaine session.

Toute notre vie tant familiale que professionnelle est une école d’enseignement et d’apprentissage efficaces. Nous devons saisir chaque opportunité qui nous est donnée pour améliorer notre manière de communiquer, d’enseigner, d’apprendre.

Que nos esprits soient ouverts pour saisir les meilleures expériences qui gisent dans les membres de notre famille et dans notre équipe professionnelle. Chacun de nous a des choses à donner et à recevoir des autres. Nous devons être plus attentifs et développons une écoute active pour saisir en gros et en détails les richesses enfouies chez notre prochain.

L’évaluation doit se faire en toute chose et en toute circonstance pour savoir ce que nous faisons bien et comment le rendre mieux, d’une part et ce que nous ne faisons pas bien, et comment les améliorer. Il est aussi vrai que nos meilleures pensées ou idées ne viennent pas de nous-même, mais de notre force ou capacité de nouer des relations gagnantes avec d’autres personnes de divers horizons.

Dans ma vie familiale et professionnelle, je fais de l’évaluation le leitmotiv de mon foyer et de ma carrière. Sur chaque enseignement et apprentissage que je dois conduire, il faut nécessairement évaluer le thème ou le sujet à développer, les objectifs de l’apprentissage, le contenu, les illustrations, les méthodes et les résultats attendus pour demeurer toujours relevant dans tous ce que je fais.Chaque réunion de mardi à l’église, est consacrée à l’évaluation et au feed-back dans des petits groupes de toutes les prédications, exhortations, études bibliques et tous les enseignements reçus la semaine passée et ressortir les applications pratiques dans la conduite mouvante à titre individuel et collectif de toutes les Vérités enseignées.

« Le fer aiguise le fer; ainsi un homme aiguise un autre homme. » Proverbes 27 :17 (CP)

Les Juifs étonnés disaient: "Comment connaît-il les Ecritures, lui qui n'a point fréquenté les écoles?" Jean 7 : 15 (CP)

REFERENCE

  1. ATKINSON, G. (1991).in Kolb’s Learning Style Inventory: a Practitioner’s Perspective”. Measurement and Evaluation in Counseling and Development. N°23, pp. 149-161.
  2. CAROLIN, L. (2012): 10 méthodes pour réviser, mémoriser et apprendre efficacement, Ecole et Enseignement pour Adulte, Apprendre à Eduquer, http://apprendreaeduquer.fr/quelques-methodes-reviser-memoriser-apprendre-efficacement/, consulté le 14 avril 2016.
  3. CHARTIER, D.(2003). ‘’Les styles d’apprentissage entre flou conceptuel et intérêt pratique’’. Savoirs, N°2. 9-28.
  4. Development Associates International (2011): Cours d’Enseignement et Apprentissage Efficaces, DAI, Version 2.3, Colorado Springs, USA
  5. Edgar MORIN (1999) : Les Sept savoirs nécessaires à l’éducation du futur, http://www.agora21.org/unesco/7savoirs, consulté le 7 avril 2016.
  6. HEC MONTREAL (2012): La boite à outils, Trucs et astuces de votre succès, Méthodes de Travail efficace, Etude efficace – Méthodes d’apprentissage, http://www.hec.ca/etudiant_actuel/services-offerts/ressources- pedagogiques/atelier_soutien_etudes /Atelier.etude.efficace.pdf, consulté le 28 mars 2016
  7. Jenny ROGERS (2001): Adults learning, Fourth Edition, Open University Press Buckingham . Philadelphia
  8. KOLB, D.A. 1984. ‘’Experiential Learning. Experience as the Source of Learning and Development’’. Englewood Cliffs. NJ, Prentice-Hall.
  9. PHIL, R.: Making Learning Happen and getting assessment and feedback working better, Dundalk Institute of Technology, 21st October 2010, pdf, www.phil-race.co.uk, consulté le 15 mars 2016.

[JMB1]excellent

[JMB2]tres bien compris

[JMB3]très bien élaboré. Un exemple d’application aurait été excellent

[JMB4]très bien mais comment se fera l’application dans votre vie quotidienne ?

[JMB5]Excellent

[JMB6]non, il faut dire ; dans mon souci d’etre plus efficcace dans …..je mettrait plus tel ou tel enseinement de Jésus en œuvre

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